这是一部既荒诞又有趣的波兰喜剧,巴比神经兮兮,巴比轻松调侃,挪揄波兰电影那段让人忍俊不禁。可以说这亦是最好的社会主义喜剧,幽的一手好默,但笑点冷门到或许只有波兰人民才懂。巡航邮轮上的封闭社会映射波兰彼时众生相。怎凑得这一船的怪胎,老头、男人、胖女人,又怎一个妙字了得。
这是一部既荒诞又有趣的波兰喜剧,巴比神经兮兮,巴比轻松调侃,挪揄波兰电影那段让人忍俊不禁。可以说这亦是最好的社会主义喜剧,幽的一手好默,但笑点冷门到或许只有波兰人民才懂。巡航邮轮上的封闭社会映射波兰彼时众生相。怎凑得这一船的怪胎,老头、男人、胖女人,又怎一个妙字了得。
回复 :亨利五世(劳伦斯·奥利弗 Laurence Olivier 饰)在登基之前是一个不学无术的花花公子,然而,坐上王位之后,亨利五世摇身一变成为了一位贤明的君主,他不仅善待子民,精于朝政,还发誓一定要夺回法兰西王位的继承权,正式向法国宣战。在精心准备战斗的过程中,亨利五世发现自己的队伍中出了三个叛徒,为了警示众人杀鸡儆猴,亨利五世对这三人处以了极刑。战争开始后,虽然英军节节败退,但亨利五世并没有放弃希望,而是以士兵的身份四处劳军,巩固军心,最终依靠着强大的凝结力取得了最终的胜利。亨利五世不仅夺回了国土,海报的了美人归。
回复 :小型客船・呼子丸が嵐のなか尾道沖で遭難し、乗客9名全員の絶望が伝えられてから三ケ月。残された恋人、夫、妻、家族のもとに、「今夜午前0時、呼子浜で待っている」という不可解なメッセージが次々と届く。女子高生・朝倉恵(宝生舞)は、授業中見ていたスライドのスクリーン上に恋人・高柳淳(柏原収史)からのメッセージを見つけた。恵は淳と交わした「ずっと一緒にいよう」という約束を思い出す。本当に会えるかもしれないという期待と不安を胸に、恵は呼子浜へ急ぐのだった。ヤクザの親分・金澤弥一郎(植木等)のもとには、孫からの手紙が届いていた。長年に渡って一家の長としてのつとめを果たしてきた金澤は、跡目を若い衆に譲って静かな余生を送りたいと考えていた。彼は組の若いものを引き連れて呼子浜へと出かけて行く。造船設計技師・永尾要治(峰岸徹)は、携帯パソコンに映し出された妻と娘からのメッセージを読んでいた。残酷ないたずらだと、堪えられない気持ちを部下の直子に訴えるが、永尾に思いを寄せる直子は、信じて会いに行くように促すのだった。永尾は直子の運転する車で呼子浜を目指した。水泳部員の安田沙由利(椎名ルミ)は、会社の伝言板に唐木コーチからのメモを見つけた。伝えられなかった唐木への思いを伝えたい一心で、沙由利は呼子浜へ行くことを決意する。しかし、同僚でマネージャーの小沢小百合(洞口依子)も同じメモを見ていたのだった。森下美津子(多岐川裕美)は、夢の中で夫の声を聞いた。美津子はそれを、夫の社長秘書として仕えていた布子(根岸季衣)に楽しそうに話す。布子は固い表情をしたまま、その話を聞く。会社のボートで二人は夕日の尾道水道を進んでいく。女子大生・原田法子(高橋かおり)は、友人の綿貫ルミと温泉旅行に来ていたのだが、法子の勘違いで最終便の船に間に合わなくなり、この夜を呼子浜の待合所で過ごすことになってしまった。待合所で早々と寝入ってしまった法子とルミのもとに、金澤たちの一行が到着した。供をして来た子分のなかに、小学校の時に離れ離れになってしまった大木貢(林泰文)がいるのを見て、法子は驚く。法子はあの時にもらった貢からの手紙に書いてあった“約束"をまだ覚えていたのだった。貢は複雑な家の事情で、金澤に拾われヤクザの見習いをやっていた。そこへ、朝倉恵が自転車で駆けつけて来る。続いて、死者たちとの“約束"を信じて、ひとり、またひとりと桟橋の待合所には人が集まって来た。それぞれの想いと思惑が交錯するなか、“約束"の時間は近づいていた。午前0時になり、波がにわかに騒ぎ始めると、暗い海の中から真っ白な呼子丸が姿を現わし、桟橋に停止した。その瞬間、目の前に現れたのは死んだはずのあの人たちだった。“約束"とは最愛の人に言えなかった“さようなら"を言うことなのだ。つかの間の再会を終えた死者たちは、再び船に乗り込んでいく。しかし、金澤だけは自分の命と引き換えに、孫の身代わりとなって船に乗るのだった。彼らを乗せた呼子丸は、暗い尾道の海に消えていった。
回复 :《孟山都公司眼中的世界》《未来的收获》导演Marie-Monique Robin2014年新作Le nouveau documentaire de Marie-Monique Robin est avant tout l’histoire d’une cassure. Entre les décideurs politiques et une partie de la population réticente à se laisser imposer les doxas libérales, les visions du monde tel qu’il doit être mené semblent irréconciliables. Lorsque les premiers ne jurent que par la croissance, répétant le terme comme une formule incantatoire, les seconds espèrent en d'autres solutions et réfutent le productivisme et la consommation à tout prix. Les experts intervenant dans le film sont formels : sous la forme qu'elle a connue au XXe siècle, la croissance est terminée, elle ne reviendra pas. De nombreux paramètres ne leur laissent aucun doute, dont la fin de l’ère des énergies bon marché ou la dépendance croissante à la dette.Fous et insoumis"Celui qui pense qu’une croissance exponentielle infinie est possible dans un monde fini est soit un fou soit un économiste" déclare un... économiste, non sans humour. Alors, pendant que les États s’enfoncent dans la crise, des insoumis créent les prémices d’une société fondée sur la sauvegarde écologique et le développement durable. Avec Sacrée croissance !, la réalisatrice présente une sélection d’initiatives réussies et de modèles alternatifs viables. Son film élargit ainsi le champ des possibles en montrant comment on peut réfuter en action, et pas seulement en paroles, le modèle économique dominant. Avec une idée force : face au gaspillage mondial, la réponse doit être locale et solidaire. À Toronto, une coopérative de fermiers produit des légumes bio près du centre-ville et vise la souveraineté alimentaire. À Rosario (Argentine), on lutte contre l’exclusion sociale en fertilisant d'anciennes décharges pour embaucher des maraîchers débutants. Certains villages népalais s’approchent de l’autosuffisance énergétique grâce au biogaz et à la micro-hydro-électricité. Au Brésil ou en Bavière, des banques communautaires et des monnaies locales bouleversent le rapport à l’argent d’un public qui se fait "prosommateur" (producteur et consommateur). Quant au Bhoutan, il développe une politique publique révolutionnaire instaurant le concept du "Bonheur national brut" (BNB). "L’abondance matérielle finira par s’arrêter", rappelle un des intervenants. Et c'est avant qu'il faut changer de paradigme économique, insiste Marie-Monique Robin.