幸福的女人
地区:欧美
  类型:生活
  时间:2025-07-16 16:50:42
剧情简介

托尼·柯蒂斯在影片中饰演一名勇敢机智的海军陆战队员,幸福在二次世界大战中,幸福他随同班长前往南太平洋一个小岛上进行危险的救人任务。营救目标是在岛上开垦的法国人,并要研判这名法国人提供的日军埋藏地雷线索是否正确。

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明星主演
薛岳
刘彩玉
邓卫
最新评论(211+)

李允宰

发表于2分钟前

回复 :亚历克·鲍德温、朱迪斯·赖特、曼迪·帕廷金、麦克·柯尔特(《傲骨贤妻》)主演影片[愚蠢的快乐](Stupid Happy,暂译)。汉娜·珀尔·厄特([英格丽向西行])执导,厄特与詹·塔洛克([六个气球])共同操刀剧本。故事讲述在担任编剧的父亲去世后,姐妹俩发现她们认为在她们年轻时死去的母亲,依旧活着并主演了肥皂剧。影片目前在纽约拍摄中。


郑日英

发表于9分钟前

回复 :妹妹苏西(Angharad Aubrey 饰)的死亡带给了乔伊(William Dix 饰)巨大的创伤,为此,他甚至接受了心理治疗。乔伊坚信,妹妹的死亡和家里的保姆(贝蒂·戴维斯 Bette Davis 饰)有关,可是家中没有人相信他,就连乔伊的父母也觉得这只是乔伊的妄想而已。某日,乔伊的母亲因为食物中毒被送往了医院,她的妹妹佩(吉儿·贝纳特 Jill Bennett 饰)来到乔伊家照看他,恰巧撞见了保姆想要用枕头闷死乔伊的一幕。佩患有心脏病,在病发时,保姆拒绝拿药给佩,眼睁睁的看着她挣扎在死亡线上。原来,保姆曾经有过一个私生子,但这个孩子不幸死去了,孩子的死给保姆的精神带来了严重的打击,才造成了这种种的悲剧。


小刀乐团

发表于4分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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